Le numéro 359 de Sport-Santé

A la Une

Place en couverture à la natation aixoise qui a réalisé ces derniers mois une avancée significative, avec les titres élites de Laura Gourgeon et, dernièrement encore, une jolie razzia de médailles aux championnats de France juniors.

La natation aixoise, illustrée à la Une par Candice Alberola et le groupe compétition du PAN se porte effectivement très bien. (photo S. Sauvage).

Sommaire

Sport-Santé n°359

  • 4 Le meilleur de la natation aixoise
  • 5 Le Méchant
  • 6 Palmes : le PAN gagne
  • 7 Bruno Surace, le coup de génie
  • 8 Festival Rapide et Blitz
  • 9 1er trail métropolitain
  • 10 Echos de proximité
  • 12 Equipe U18 du PAUC
  • 14 Les bonnes notes de GR Aix
  • 16 Pétanque : finale du circuit PPF
  • 17 Jean-Léon Casasola, l’extraterrestre
  • 18 L’AVC Aix se présente bien
  • 20 Ils nous ont quittés
  • 21 EducBall, naissance d’un concept
  • 22 De perf en perf
  • 24 Trophée : Lili-Meije Delaunay-Foglino

EDITO

FAIRE

De tous les mots de la langue française, le verbe FAIRE n’est-il pas le plus important ?
Nous répétons souvent que, dans la vie comme dans le sport, l’essentiel est de faire.
Faire ce qu’on aime, faire ce que l’on doit faire, faire ce que l’on dit …
Chaque fois qu’on m’a demandé ce que je faisais dans la vie, j’ai répondu : «Je fais un magazine de sport ». Les uns me disent journaliste ou photographe, d’autres m’honorent du titre de directeur de publication ou de je ne sais quel autre fonction imposante. Mais cela ne correspond pas à la réalité.
Faire un magazine, pratiquement seul, consiste à faire un tas de choses sans pouvoir y mettre un nom de métier. Mon travail de « petit artisan » consiste à faire tout à la fois : faire la conception du magazine, faire des interviews, faire des articles (… faire le moins de fautes possibles), faire des photos, faire de la mise en page, mais également faire de la gestion, faire de la communication, faire des livraisons et même faire du ménage et des rangements au bureau…
Faire paraitre le magazine coûte que coûte, n’a pas toujours été évident. En étant seul permanent de l’entreprise, difficile de tout faire au mépris des problèmes de santé et autres. Ici, on travaille sans filet. Et je viens encore d’en faire le constat en bouclant ce n°359 de Sport-Santé en temps voulu, dans une période où des problèmes personnels m’ont singulièrement compliqué la vie.
Nous nous autorisons à le faire savoir, afin de nous faire excuser auprès des personnes qui nous avaient sollicités concernant certains sujets et que nous n’avons pas eu la possibilité de satisfaire. En espérant pouvoir le faire dans un prochain numéro.
Si j’ai eu tort de faire un éditorial un peu trop personnel, sous une forme discutable, il serait bon de me le faire savoir. J’ai beau avoir de l’âge, je ne demande qu’à faire des progrès et faire en sorte de contenter un maximum de nos lecteurs.
Je profiterai d’ailleurs de ces quelques lignes pour faire un clin d’œil amical à tous ces fidèles abonnés de soutien qui, dans une période compliquée, nous aident et nous encouragent à faire vivre un magazine qui n’a jamais été une belle affaire… si ce n’est sur le plan humain.

A. Crespi